Amélia Montez [Terminée]

Nom:: Montez
Prénom:: Amélia
Surnom:: Mélie, Amé, Am...
Âge:: 16 ans

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Qualités:: De nature très sociable. Indépendante.
Défauts:: Directe. Avoir le nez fourré partout (Se mêle de chose qui ne la regarde pas).

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Physique:: Sa mère est d'origine mexicaine, ce qui lui vaut son magnifique teint brun pâle. Sa chevelure sombre, également, lui vint de sa mère. En fait, elle lui ressemble énormément. Ses yeux sont bruns caramelle et dégage une certaine frustration, un manque d'amour sans doute. Elle est de grandeur moyenne, fait dans les 5 pieds 4 pouces, environ. Elle est plutôt mince, sans pour autant avoir un corps squelettique. Grâce à son entrainement particulier, elle détient des muscles plus ou moins développer.
Autre particularité:: -X-
Tics:: Elle a tendance à toujours vouloir replacer ses cheveux. Une fois derrière ses oreilles, aussitôt sur ses épaules, etc. ...

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Race:: Ombre
Statu:: Étudiant au Secondaire.

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Caractère:: Amélia, jeune femme énergique et pleine de vie, toujours en train de mettre son nez là où elle ne devrait pas, en faite, elle est très curieuse ce qui peut très souvent lui apporter des problèmes. Malgré son petit air innoncent qu'elle se donne, Amélia est une personne qui n'a pas peur de dire ce qu'elle pense, lorsqu'elle le pense, directe autrement dit. Très orgueilleuse, elle a du mal à avouer ce qu'elle ressent, elle garde donc continuellement sa tête dure. Bref, Amé est une jeune femme assez étrange, mais c'est surtout à cause de sa double nature... Elle doit quand même resté secrète la jeune Ombre.

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Histoire::



Elle était belle. Elle était grande. Elle était doué! Mais je ne peux véritablement l'affirmer. Je ne pouvais qu'écouter ce que mon père me disait à son sujet. Je ne pouvais que le croire.
Il était beau. Il était fort. Il était merveileux! Mais je ne peux véritablement l'affirmer. Je ne pouvais qu'écouter ce que ma mère me disait à son sujet. Je ne pouvais que la croire.

Elle est née dons la grande ville de Mexicom au Mexique. Elle n'était pas riche, mais n'était pas pour autant malheureuse. Ses parents étaient des êtres aimants et généreux. Toute personne aurait sans doute souhaité des parents comme les siens.

De son côté, lui vivait tout à fait autre chose...

Il est né dans la grande ville de Gatineau, au Québec, au Canada. Ses parents exerçaient un emploi, hm... particulier. Ils étaient entraiîneurs tout en étant des hm... tueurs à gages, nés! Durant le jour, ils travaillaient dans des bureaux, comme avocats. Le soir, ils rejoignaient leur fils unique pour lui apprendre les vrais choses de la vie.



Comment une mexicaine et un québecois auraient pu se rencontrer? Eh bien, c'est ce que je m'apprête à vous raconter, alors un peu de patience.

Elle ne pouvait continué à vivre cette vie médiocre. Ce n'était pas parce que cela lui déplaisait, mais bien parce que ses parents souhaitaient mieux pour elle. Surtout à cause de son talent! Elle était une chanteuse tout à fait extraordinaire. Un jour, un agent americain, en voyage, avait eut vent de la voix de cette étrangère. Et sur le bord du chemin, il pu l'entendre. Sidéré devant son merveilleux chant, il lui proposa de venir aux États-Unis avec lui. Avec l'approbation de ses parents, elle partit avec l'agent.

Ses parents étaient très sévère. Ils exigeaient beaucoup de la part de mon père. Il avait du faire les meilleures écoles et ça, sans jamais broncher. S'il aurait bronché, la punition aurait été dur. Puisqu'il n'était pas très doué en anglais, mais tout à fait fabuleux en classe, pour lui donner un coup de pousse, mon grand-père et ma grand-mère décidèrent de l'envoyer étudier à Harvard, aux États-Unis. Là-bas, il fut bien soulagé de ne plus avoir à supporter ses parents.

Sa vie était exquise. Elle était si confortable. Le chant était, chez elle, une passion et de chanter devant tous ces gens l'a satisfaisait énormément. C'est justement à cause de son mélodieux dont qu'elle fit la rencontre de cet être mystérieux. On lui avait dit qu'elle devait chanter dans un palace cinq étoiles pour des gradués de l'école d'Harvard. Chanter pour des finissants était nouveau pour elle, mais elle n'allait pas refuser cette opportunité.

Ce soir là, après de longues années d'étude, il allait enfin être nommé avocat, comme ses deux parents. Enfin il allait pouvoir vivre sa vie et non celle de ses parents. Bien qu'il sut qu'il devrait tôt ou tard revenir auprès d'eux. Il se regardait dans la glace, faisant son noeud de gravate. Avec son costume, il avait fier allure. Avec des amis, il prit une limousine pour se rendre au lieu de fête.

Pour le moment, elle ne faisait que mettre un peu d'ambiance, alors que les jeunes adultes parlaient entre eux. La salle était bondé de monde. Personne ne lui portait vraiment d'attention, mais elle ne s'en plaignit pas. Cependant, une personne finit par s'adresser à elle...

-Bonsoir?

Heureusement, il s'était adressé à elle alors qu'elle ne chantait plus. Elle lui offrit un petit sourire tout en lui répondant de la même manière :

-Hola.

Et c'est ainsi qu'ils se parlèrent pour la première fois.



Après cette merveilleuse discussion, il avait voulu la revoir, mais dans d'autre circonstance. Elle avait chaleureusement accepté son invitation à venir dîner au restaurant.

Elle avait prit beaucoup de temps à se préparer. C'était la première fois qu'elle rencontrait un homme qui lui faisait tant d'effet. Elle essaya plus d'une robe avant de trouver celle qui semblait lui aller à ravir.

Il avait prit énormément de temps à se préparer. C'était la première fois qu'elle faisait la connaissance d'une femme qui lui faisait tant d'effet. Il avait prit au moins une heure à se préparer, alors qu'il n'avait qu'à enfiler un costume et à peigner ses cheveux très simplement.

Une limousine était venu chercher la radieuse chanteuse. Et étonnement, ce ne fut même pas de son agent que venait le cadeau, s'était de l'étranger. Elle était embarqué, reconnaissante envers ce dernier et s'était laissé guidé jusqu'au restaurant, très chic par ailleurs.

Il l'attendait, à une table toute particulière. Devant, une scène était monté et un micro n'attendait qu'elle. Il avait tout prévu. Il s'était renseigné à son sujet et avait apprit qu'elle était surexploité, ce qui ne fit pas vraiment son affaire. Il la vit à la porte, un pe plus loin. Il surveillait son arrivé et là voilà. Il alla à sa rencontre.

Ensemble, ils passèrent une magnifique soiré. Elle pu monter sur scène comme il l'avait prévu. Pour le remercié, elle avait dédié sa toute dernière chanson en son nom. Il était entièrement sous son charme. À la fin de la soiré, alors qu'il la ramenait à son hôtel, il lui proposa d'être son agent et de l'apporter au Canada.



À son retour au Canada, avec elle, il fut heureux de la présenter à ses parents. Cependant, contrairement à ce qu'il avait pu penser, ses parents n'étaient plus. Lorsqu'il revint au manoir dans lequel ils vivaient, les domestiques lui apprirent que ses parents avaient été tué dans un horrible carnage. Il comprit tout de suite ce que cela signifiait. Ils avaient été anéantit par des Damnées ou encore par des Ghostas ou des Maloups. Ces créatures allaient finir par en payer le prix!

-Oh jé' swis déssolé, lui dit-elle avec son fort accent.

-Ce n'est rien, ma chérie... Je...

Il ne savait que dire. Au fond, il n'était pas si triste que cela. Il se doutait qu'un jour cela allait arrivé. De plus, ses parents n'avaient jamais été très sympathique avec lui, alors pourquoi devrait-il regrétter leur mort? Et après tout, c'était eux qui lui avait apprit à ne pas pleurer devant des banalités. C'est ce qu'il avait alors fait.

Quelques années passèrent ici. Ils étaient heureux ensemble, dans le manoir. Il faut dire que le fait d'avoir engagé des hommes de main jour et nuit, soulageait le coeur de ce dernier. Ainsi il ne pouvait craindre ni pour sa vie, ni pour celle de sa femme. Oui, sa femme. Car il l'avait épousé. Elle était maintenant célèbre. Connu de tous! C'était une femme mûr maintenant!



Il y avait plus de sept ans qu'ils vivaient ensemble et cinq ans qu'ils étaient marier un à l'autre. Et pour couronner leur union, elle lui annonça être enceinte. Il fut très heureux de la nouvelle et l'accueillit volontié. Il fit en sorte qu'elle ne manque de rien. Durant son temps mort, car elle avait mit sa carrère de côté pour mettre sa grossesse à terme sans stresse, elle apprit une nouvelle qui vint la mettre toute à l'envers.

Il y avait un moment qu'elle ne se sentait pas très aise. Elle entâmait son septième mois, et il n'était pas question qu'elle stresse. Mais elle se sentait épié. Elle avait l'impression qu'on la regardait et le soir, elle se réveillait en sursaut. C'était comme si des ombres l'envahissait. Elle se sentait mal. En bon homme qu'il était, il remarqua son angoisse et lui demanda ce qui se passait.

-Il y a des personnes ici... Elle m'observe, je n'aime pas cela...

Comprenant ce qui se passait, il lui dit de ne plus s'inquiété et qu'il était là pour elle. Il la quitta un moment lui disant de ce reposer et se rendit au sous-sol, où il fit une réunion improvisé.

-Cessez de rôder autour de ma femme. C'est à l'extérieur que vous devez surveille pas l'intérieur.

-Surveillez? Pourquoi? fit sa voix.

Il se tourna vivement pour la voir à la porte.

-Qui son tous ces gens? continua-t-elle. Comment sont-ils entré?

Il la regarda sans savoir comment tout lui dire. Elle n'avait jamais été au courant de ce qui se passait en ces lieux. Elle ne connaissait pas le pays. Elle ne connaissait pas la guerre qui se jouait depuis toujours.

-Ma chérie, approche.

Elle avait hoché à la négative la tête. Elle ne voulait pas approcher. Puis soudainement, une crampe la prit à son bas ventre, ce qui lui arracha un petit crit de douleur. Son époux accouru près d'elle, alors qu'il aperçu du sang coulé sur ses cuisses. Que se passait-il?

-Maître, l'enfant! s'écria une femme qui approcha très rapidement d'eux.

Elle tomba dans les bras de son mari, gémissante. Elle ne cessait de répéter qu'elle avait mal. La femme qui était auprès d'eux ordonna que l'on libère la place et qu'on installe la futur mère sur un des grand divan luxueux. Les jambes écarter, l'Ombre médecin entreprit vite son travail. Elle exigea des serviettes tiède et d'autre sèche. Il fallait arrêter l'hémoragie. Des cris de douleur s'élevait dans le sous-sol bondé de monde.

-PARTEZ! cria ma mère.

Il ordonna à tout ceux présent, sauf Isabella, la femme médecin de partir. Et sous le regard terrifié de ma mère, ils quittèrent simultanément l'endroit. Des ombres sombre, noirs, traversaient la pièce à vive allure. Après avoir vu une telle chose, elle se laissa aller à son mal et tomba inconsciente, n'entendant que les douces paroles de son époux :

-Tiens bon, mon ange...

[...]

Elle se réveilla plus tard. Combien de temps s'était-il écoulé? Elle n'aurait pu le dire. Cependant, elle pu constater qu'elle était dans un lit douillet et nouvellement vêtu d'une robe de nuit très simple et propre. Elle tenta de se redresser, mais cessa vive son geste, sentant une douleur à son abdomen.

-Il y a quelqu'un? demanda-t-elle.

Aussitôt, Isabelle sortit de l'Ombre s'approchant de sa protégé.

-Ne craignez rien, tout va bien et votre fille aussi.

Comme pour confirmer ses paroles, il sortit également de l'Ombre, avec une poupoune enrouler dans une couverture, entre les bras. Il s'approcha d'elle déposa la fillette sur sa mère.

-C'est elle? demanda-t-elle peu certaine. C'est Amélia?

-C'est Amélia, mon amour. Regarde comme elle te ressemble. Elle a tes yeux. Elle magnifique.

Un sourire, tout comme les larmes, apparurent sur le visage de la mère épuisé. Elle garda longtemps sa fille contre elle, la consolant lors de ses pleures. C'est ainsi que débuta sa nouvelle vie de mère.



Amélia était sous la surveillance de leur nounou, qui tout comme lui était une Ombre. Elle pouvait donc avoir confiance en lui. Maintenant qu'elle était plus en forme, elle pourrait avoir des réponses à ses questions et comprend qui était vraiment son époux. Car d'après ce qu'elle avait pu constater il n'était pas ce qu'il prétendait être.

-Je suis avocat, oui. Mais je ne suis pas seulement cela.

-Qui es-tu, Adrien? Je veux savoir qui tu es? Comment pouvons-nous vivre ensemble si tu me caches des choses?

-Si je te l'aurais dit avant, peut-être n'aurais-tu pas voulu m'épouser. Je craignais de te faire fuire. J'avais peur que tu me quitte...

-C'est aujourd'hui que j'ai envie de te quitter, Adrien. Chez moi, on sait écouter. On accepte la vérité et son se fit à nos sentiments plutôt qu'à notre esprit.

-Mais... Mais je suis quelque chose de mal...

C'est à ce moment qu'il lui expliqua tout ce qu'elle voulu savoir. Il lui avoua être d'un clan que l'on appelait Ombre. Que les Ombres étaient des créatures mi-humaine. Elles avaient le pouvoir d'être immatériel. D'où venait cette espèce? Elle existait depuis toujours. Et comme n'importe quel être, elle cherchait à s'approprié des choses. Et toujours de la manière forte. Toutefois, Adrien, mon père, lui expliqua que lui n'avait jamais tué qui que ce soit. Il ne désirait pas vivre dans la mort. Il voulait vivre auprès d'elle et de leur fille. Il voulait les voir en vie. C'est pourquoi il avait décidé de faire surveiller le manoir, avec que la famille soit en sécurité.



Voilà que cela faisait 7 ans que j'étais au monde. La seule fille de la famille. Nous viviâmes dans une immense demeure, qui me semblait si grande et ennuyeuse. Je connaissais mon père. Mes parents n'avaient pas voulu me cacher l'existance des Ombres. Cependant, mon père m'apprit que le mal n'apportait jamais le bien. Mais ce que ce dernier ne savait pas, s'était que ses accolytes me racontaient une toute autre version des choses. Qui croire? Je décidai de laisser aller les choses telle quelles étaient sans trop me soucier de tout cela.

Je n'étais jamais sortit du manoir toute seule. On me faisait l'école à la maison. Mes parents craignais pour ma vie. Mais ce qu'il ne savait pas, car je n'osais leur dire, c'était que ma vie de solitaire m'ennuyait terriblement. Et si seulement j'avais pu savoir comment traverser les murs comme le faisait les Ombres, j'aurais très bien pu fuire quelques heures. Mais mes parents défenfirent à tous de m'apprendre. Heureusement pour moi, il y avait quelques rebels dans le groupe.

-Rejoint moi à ta chambre, entendis-je murmurer.

Je quittai le salon dans lequelle je jouais avec des poupées pour me rendre là où m'avait demander d'aller Alexis. C'était un adolescent, presque adulte. Il était très gentil avec moi. C'était le fils de Bernard et Lysianne. Un cousin éloigné de mon père. Je franchis la porte de ma chambre, la refermant aussitôt derrière moi.

-Où es-tu Alexis? demandai-je tout en tournant sur moi-même.

Il sortit soudainement du plancher, reprenant sa forme humaine. Je ne sursautai pas, maintenant habitué à ce phénomène. Je lui offris un sourire excité, curieuse de savoir pourquoi il m'avait mené ici. Il m'avoua alors vouloir m'apprendre à me transformer. Cela accentua mon excitation. Je voulais apprendre et enfin quelqu'un allait me l'apprendre! Il m'expliqua qu'au début cela pouvait être douloureux. J'étais prête et lui disparut.

Je sentis des mains agripper mes pieds et tout de suite après ce geste, je me mis à crier de douleur. Mes pieds s'enfonçaient dans le sol et Alexis me disait d'arrêter de crier pour ne pas alerter tout le monde. Mais il était déjà trop tard. Mon père apparut si vite que je sursautai cette fois.

-Que fais-tu là?! cria-t-elle.

Néamoins il ne chercha pas à m'agripper pour me retirer. Ma mère arriva au pas de course ouvrant avec force la porte de ma chambre. Elle cria de terreur en me voyant m'enfoncer. Moi je pleurais tellement j'avais mal. Alexis m'avait lâché et avait rejoint mon père qui le bouscula tout en se mettant à lui crier après.

-Qu'est-ce qui te prend? Tu n'avais pas le droit de lui faire ça! ragea-t-il. Elle est encore trop jeune!

Ma mère voulu venir me chercher, mais Adrien l'arrêta aussitôt.

-Amélia! cria-t-elle se débatant pour venir à mon secours.

Je souffrait la douleur était terrible. Je pleurais à chaude larme essayant moi-même de me retirer du sol. J'avais l'impression que mes os étaient entrain de se briser.

-Laisse-moi, Adrien! cria-t-elle si fort que je redoubler de larme.

-On ne peut intervenir, au risque de la voir succomber.

Elle s'arrêta aussitôt.

-Quoi?

-Si on ose quoique ce soit, elle risque d'y laisser sa vie. Elle doit passer ce stade, et ensuite je pourrai faire quelque chose.

Ma mère tomba à genoux terrifié et briser de me voir souffrir de la sorte. Cela prit encore quelques minutes avant que je ne disparaisse complètement. Dès que je ne fus qu'un ombre sur le plancher, mon père s'empressa d'intervenir et me ressortit aussitôt du plancher pour que je puisse reprendre forme. J'étais inconsciente et en sueur. Il me déposa sur mon lit et attendit que je me réveille. Ma mère était également à mon chevet. Je me réveillai au bout d'une heure, peut-être un peu plus. Dès que j'ouvris les yeux, ma mère s'accrocha à moi et me dévora le visage de ses baisers tout en me disant qu'elle m'aimait de tout son coeur.



Après mon inniciation à l'univers des ombres ma mère nous apprit être enceinte. Enfin, quelqu'un avec qui je pourrais jouer! Certes, il me faudrait attendre quelques années, mais au moins je ne serrai plus seule ici dans! Heureuse de la nouvelle je me mis au soin de ma mère. Tout ce qu'elle avait besoin je le lui apportais. Toutefois, je ne fus pas toujours présente. Maintenant que j'étais dans le clan, je devais apprendre à maîtriser certaine chose. Et c'est mon père qui m'éduqua, sans savoir qu'Alexis, de son côté m'apprenait autre chose. Enfin bref.

Un soir, alors que je dormais paisiblement, un fracas me sortit de mes songes. Sans crainte, je quittai me lit, me disant que s'était sans doute une domestique qui avait fait tombé quelque chose, mais en sortant de ma chambre, je me retrouvai face à face avec une horrible créature. Les yeux grande, je reculai, mais elle fut bien plus vite que moi. Elle se jeta sur moi, me planquant carrément au sol. Je me mis aussitôt à crier et en deux trois temps mouvements, une armée d'ombre venait à mon secours. Celle qui avait faillit me manger fut littéralement lancer contre le mur et on lui brisa le cou. Dès qu'elle fut détruite, mes confrères et consoeurs me quittèrent partant en chasse pour arrêter les autres. Car la Damné qui gisait à mes pieds n'étaient pas la seule. Des pas rapide attirèrent mon attention. Je tournai la tête pour voir ma mère courir vers moi.

-Sauve-toi Amélia! m'ordonna-t-elle.

Mais avant même qu'elle ne se soit rendu à moi, une des créatures se jeta sur elle et enfonçant ses crocs à son cou lui arrachant la peau. Aussitôt je m'enfoncai dans le sol pour vite déguerpir. Je pleurais certes, mais je devais partir. Je quittai le manoir, remarquant que d'autre créature arrivait très rapidement. Je me dépêcher de partir...



J'ai 16 ans, aujourd'hui. Mes parents ne son plus de ce moment. Comme la plus part des êtres qui comptaient le plus à mes yeux. Je m'efforce de ne pas être trop malheureuse. Je garde la tête froide. Heureusement pour moi, des Ombres avaient eut vent de ma situation et m'avait prit sous leur aile. Je fus logé, nourrit et même élevé dans les meilleurs écoles. Mais jamais on ne me donna ce qui, pour moi, avait toujours été important : l'amour.

Maintenant, je suis un peu comme une vagabonde. Je dors chez eux, je mange là-bas, mais je ne rentre jamais avant la nuit. Préférant être ailleurs. Je connais le lieu de rencontre, car on me l'a montrer. J'y passe beaucoup plus de temps qu'à la maison. Bref. Je suis ce que je suis et je n'essaierai pas de changer.