Zachary Sheppard

Nom:: Sheppard
Prénom:: Zachary
Surnom:: Kiki, Zack ..
Âge:: 17 ans

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Physique:: En se qui concerne ces cheveux, rien n'as changer. Il a toujours ses multiples reflets a la lumière. Les cheveux clairs aux reflets roux sont beaucoup plus visible, il les portes court.Une certaine lumière brille dans son regard bleu/vert. Le halo de sa pupille est d’un bleu océanique unique en son genre. Ce qui met davantage son regard en évidence. Légèrement en amande, ceux-ci lui donne un regard transparent, un regard qui ne peut mentir. Son regard est de la couleur du bleu ciel d’été et s'assombrissent par temps orageux. Zachary est plutôt du style classique. Un jean et un t-shirt noir font très bien l'affaire
Autre particularité:: Nothing
Tics:: Nothing

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Race:: Mi-Ghosta / Mi-Ombre
Statut:: Étudiant/Musicien

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Caractère:: Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. Zachary est plutôt loin d’avoir un caractère frivole. A moins de démontrer de l’intérêt, vous n’avez pas d’intérêt. Dur, dur la vie! Zack est plutôt un cœur tendre sous une carapace de pierre et de glace. Sa confiance est plutôt difficile à acquérir. Dans la vie, rien n’est facile. C’est un passionner, il est toujours a fond dans se qu’il entreprend et attention a celui qui se mettrait au travers de ses pattes. Plutôt loin d’être prompt, il pèsera les pour et les contres, les façons de réactions. Érudit, connaître est sa façon d’agir. Il déteste être dans l’ignorance, surtout s’il sait qu’on lui cache quelque chose qui le concerne. Zachary est plutôt de nature impassible, passive. Il reste neutre devant l’adversité, mais prend garde à l’attaque. Zack est comme le scorpion, il n’attaque que lorsqu’on le menace. A vrai dire, il déteste être provoqué. Il ne cherche jamais la bagarre pourtant, il a le don de provoquer, de toucher un point sensible qui fait exploser l’impulsion. D’après lui, c’est sur le coup de la colère que l’on connait les véritables limites de l’être humain. L'homme est une corde tendue entre l'animal et le Surhomme, une corde au-dessus d'un abîme.

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Histoire::
๑∂εcσυvεятε ๑

La lune fut déjà haute dans le ciel, lorsque la première étoile se mit à brillé. Une fine pluie tombait donnant une impression féerique à la vue. Assit à la fenêtre de sa chambre, le bambin avait posé son regard sur la route passante. Il n’avait pas trouvé le sommeil malgré les douces histoires et la mélodieuse berceuse de sa mère. À peine eu telle fermé la porte et éteint la chandelle, qu’il avait repoussé ces couvertures et, à pas de loup, s’était dirigé vers sa fenêtre. La tête entre ces petites mains potelées, Zachary fit un soupir à peine entendu. L’air rêveur, il regarda passer une carriole, sans vraiment y prendre garde. Il était bien tard pour se promener. Les fêtes mondaines et autres soirées devaient êtres terminée depuis plus de trois heures. Zack ferma les yeux et secoua la tête. Il ré ouvrit les yeux et eu à peine le temps de voir la carriole tourner le coin pour prendre l’autre rue. Le bambin n’avait pas vue, n’y passager n’y cocher. Est-ce donc…? L’idée lui fit peur et se laissant glisser, retourna rapidement sous les couvertures cachant sa tête sous les draps. L’enfant ne ferma pas les yeux du reste de la nuit. Fort heureusement, se ne fut qu’un rêve. Pourtant au matin lorsque du haut de ces cinq ans l’enfant lui raconta son cauchemar, la jeune mère n’en fut pas surprise. L’imagination peut faire tant de chose dans l’esprit qu’on ne peut parfois pas distinguer le vraie du faux.

๑ ρяεмιεяεs αηηεεs ๑

Les premières années d’école fut les plus difficiles. Étant pourtant né en Angleterre, le gamin ne s’y sentait pas cher lui. Rien de plus absurde s’obstinait sa mère. Pour elle, il était hors de question de partir outre mer. Zachary renferma pour lui tous ressentiments concernant cette terre. Pourtant dans son fort intérieur, il se promit qu’un fois partit, il n’y remettrait plus les pieds. La première année fut des plus éprouvantes. Chaque jour, il se sentait traqué et observer rien de plus. Mais se sentit que qu’il avait d’être s’en cesse observer le mettait des plus mal à l’aise. La toute première fois qu’il mit les pieds dans la salle de classe, il sut qu’il ne détesterait pas l’endroit. Zack réussit a s’allier des amis précieux et comme tous enfants de son âge, il ne cherchait pas à attirer les sympathies des filles. Fort heureusement d’ailleurs!

๑ ρяεмιεяε sσятιε ๑

Zachary fut toujours curieux de naissance. Même après que sa mère lui est raconter la légende des êtres, il n’y voyait pas la peur. Nathaniel, son frère aînée, le traînait avec lui dans chacune de ces sorties à moins que cela fut trop intime. Sur le haut de ces dix ans, Zack était loin de se douté que cette fois se n’était plus un jeu pentacle de son frère. L’enfant suivit son aîné dans le plus grand silence jusqu’à la lisière d’une rivière. Nathaniel fit signe a son frère de se baisser et de garder le silence : se que celui-ci fit sans poser la moindre question. Se matin, étrangement, avant même de partir, son grand frère lui avait fait promette de ne rien dire de se qu’il allait voir. Heureux d’avoir un secret a partagé avec lui, la lumière avait accepté. En voyant soudainement Nathaniel s’approcher du jeune homme près de la rivière, l’enfant cru que se n’était qu’un jeu entre ami. Mais lorsqu’il vit l’arme au point de son frère son sourire se figea pour finalement s’effacer. Zack ferma les yeux alors que le corps tombait dans un bruit sourd. Nathaniel sortit un petit briquet de sa poche et mit en feu le corps de l’inconnu. Le grand frère alla rejoindre son petit frère dans les broussailles et le prit par les épaules avant de l’emmener plus loin.

- Pourquoi as-tu fais ça?, demanda soudainement Zack alors qu’ils marchaient tous deux dans une petite rue tranquille.

Nathaniel tourna finalement la tête vers lui et ne trouva pas comment lui expliquer que les légendes que leur mère racontait, étaient vraies. Un soupir vint franchir ces lèvres et passa la main sur le dessus de la tête. Zachary était tout le contraire de son frère, malgré leurs fortes carrures, rien ne les rapprochaient. Nathaniel avait les yeux miroirs laissant ainsi le vide dans son esprit. Il portait également ses cheveux de couleur noir, très court et lui châtain clair, les yeux bleus… La différence était évidente.

- Répond-moi Nathan!, s’exclama soudainement le jeune homme.

- Tu veux que je te réponde quoi?!? Mère avait raison Zack, ces ‘’Légendes’’ n’en sont pas. Il va falloir toi aussi sauvé les tiens! Je ne serrais pas toujours là moi!

Zachary baissa le regard sur ces chaussures. Il était encore bien jeune et l’idée que sont frère ne soit plus ne plus plaisait pas du tout. Loin de là! Le jeune homme garda pour lui le flot de larmes qui lui montait aux yeux. Un homme ne devait jamais pleurer s’était ‘’ La ‘’ règle de son père. Nathaniel s’arrêta et prit place devant son jeune frère. Celui-ci fit lever la tête de Zack d’une légère pression du doigt. Malgré son air de brute et son regard froid, Nathan était un homme remplie de tendresse a l’égard des siens. Pour Zachary, il était le model parfait.

- Ne t’en fait pas… Peu importe se que sera demain, je resterai toujours ton frère et nul ne pourra changer ces liens puissants qui nous unis!

Zachary ne pu retenir plus longtemps ses émotions et alla se réfugier dans les bras de son grand frère. Son père l’aurait sans aucun doute puni pour se geste mais, en se jour et en cette heure, il s’en moquait. Après un court moment, Nathaniel fit reculer son jeune frère pour mieux le voir. A l’aide de son pouce, il alla sécher les larmes de son frère puis un sourire vint naître sur les lèvres de l’aîné.

- N’oublie jamais sa Zachary, commença celui-ci avant de faire des gestes qui étaient familiers pour l’enfant, Devant c’est toi, Derrière c’est moi… et on se protège mutuellement.

Un sourire apparue finalement sur la bouche de l’enfant et Nathaniel se redressa de pousser doucement son frère vers l’avant, sur le chemin de la maison.

๑ sεραяαтιση ∂συℓσυяευsε ๑

Le huitième printemps qui suivit cette journée d’émotions fut tout aussi douloureuse que par le départ de son frère. Réuni autour du cercueil sombre du défunt, famille et ami y était réuni. Zachary n’avait pas trouvé la force de dire un dernier au revoir à son aîné. Âgé de vingt trois ans, Nathaniel Sheppard avait quitté le monde des vivants pour rejoindre celui-ci des légendes. Assit au rebord de sa chambre, l’adolescent n’avait pas voulu quitter sa chambre lorsque ses parents l’avertit qu’ils partaient. Zack avait protesté qu’il terminait de se préparer et qu’il les rejoindraient, pourtant, il n’en fit rien. L’adolescent qu’il était devenu, il le devait a son frère, se frère qu’il n’avait jamais quitté d’une semelle. Avant même que ses parents ne rentrent dans la petite maison, la Lumière la quitta et alla finalement au cimetière où il resta cacher jusqu’au départ de la toute dernière personne; le prête. Zachary Sheppard attendit que l’on eu fini de mettre son frère sous terre et lorsque finalement les employés prirent congé jeta un dernier regard autour de lui. Doucement, à la manière dont le défunt lui avait apprit, Zack s’avança sans faire le moindre bruit. Il avait accepté de prendre la relève de son frère mais, il avait également accepté le fait qui soit issu de deux races. L’adolescent prit place sur le sol près de la tombe et y resta jusqu’à la tomber de la nuit. Finalement, il rentra chez lui alors que les derniers invités donnaient encore une fois leurs condoléances. Zachary s’approcha de la porte d’entrée avant même que puisse lui dire combien ils s’étaient désolés pour son frère, celui-ci entra dans la maison sans même dire le moindre mot…

Au matin de ses dix huitième anniversaire, ses parents lui firent par de leur décision de partir de se pays et de rejoindre l’outre terre. Sheppard haussa les épaules se moquant désormais se que la vie pouvait lui faire.

- Cesse dont de pleurer sur ton sort, Zachary! Il ne reviendra jamais dans cette maison n’y dans l’autre d’ailleurs!

Son père n’avait pas osé nommer le nom de son fils premier. Zachary prit place à sa place habituelle et mangea son petit déjeuner comme a l’habitude gardant par contre, son regard dans son assiette et non dans celui de Nathaniel. Une semaine plus tard, les valises étaient faites et la maison vendue. Après de nombreuses nuits passées dans l’avion, l’appareil mit finalement le pied dans un aéroport à proximité. Une fois les valises placées dans le coffre de la voiture et les passagers attachés, l’automobile mit le cap en direction d’une petite ville dont on disait bien des choses. Personnellement, la famille savait qu’elle n’aurait jamais la paix et que les ‘’Légendes’’ les suivraient partout puisqu’il n’était pas tous sur le même continent.

๑αяяιvεя ๑

Tout un mois fut prit pour faire leur installation dans la nouvelle maison. Malgré tout, des boîtes trônaient un peu partout impérieux sur le temps. Zachary avait gardé quelques objets de la chambre de son aîné. Il gardait le briquet de celui-ci dans sa poche continuellement. Le reste des meubles allait être installé dans la chambre d’amis. Au matin, Zack envala rapidement son petit déjeuner et enfila une vaste avant de sortir de la maison. L’adolescent glissa ses clefs dans sa poche de gauche et glissa les mains dans les poches de son jeans. Il fit ainsi le tour du quartier repérant certains endroits plutôt intéressants. Puis, il poursuivit sa route vers l’hôpital. Ses parents lui avaient trouvé un poste de stagiaire le temps qu’il puisse terminer ses cours. Poursuivant sa route, il passa près d’une forêt, mais surtout d’un parc où jouaient de jeunes enfants. Il fut surprit de voir des gens aussi sympathique. Ils le saluèrent à son passage et se montrèrent fort courtois. Nathaniel lui avait apprit avec patience le français, bien qu’il eu aimé mieux travaillé dans sa langue maternelle. Pourtant en se jour, il se trouvait plutôt heureux de ses apprentissages.
En rentrant vers sa nouvelle maison, il s’arrêta devant et la regarda avec attention.

- Voilà donc à quoi ma nouvelle vie va ressembler, commença pour lui seul. Puis poursuivit a l’intension de son frère en levant la tête ver le ciel, Dommage que tu ne puisses pas voir ça!

๑ ρяємιèяє נσυяиéє ๑

Assit sur son lit, Zack attendait l’heure du départ. Il avait son première cours de jour et il trouvait le temps, plutôt long. Une pensée lui vint soudain. Le jeune homme étira son bras et fit prisonnier un livre dans l’une des boîtes restantes. La Lumière ouvrit le livre à une page au hasard.

| J’eus été près à me sacrifier pour la sauver. Mais que pouvais-je donc y faire? Je vous jure Seigneur, je l’aimais. Hélas, dès que j’entrai dans la pièce, je su que cela ne sera jamais le cas pour elle. D’un mouvement gracieux, elle déposa l’ouvrage sur le meuble de bois massif et leva son regard envoûtant vers moi. Je sentis le sol s’ouvrir sous mes pieds, hélas, je n’avais rien à quoi me retenir dans se délicieux vertige. Je serrai les dents sous mes émotions maintenant trop fortes. J’avais entretien avec le maître des lieux, mais peut-être étais-je arrivé trop tard. Je n’aurai pu dire. Mon regard balaya la salle de savoir qui servait également d’office. Mes yeux s’arrêtèrent sur les coupes propres sur le plateau. J’en déduisis que j’étais arrivé trop tôt. Elle capta de nouveau mon attention. Doucement, elle s’avança vers moi dans un bruissement d’étoffes soyeuses. Elle me lança un regard par-dessus son épaule dénudée puis, sortit du bureau. Je fermai les yeux durant un instant. Alors que j’allai prendre place dans un fauteuil, monseigneur fit son entré en ces lieux. Je me tournai d’un blog dans sa direction et j’inclinai la tête. Je n’eu point le temps d’ouvrir la bouche, il me devança;

-Sir Christopher…

Me lança le maître en guise de salue. Je lui répondis poliment d’un ‘’Monseigneur‘’ et prit place dans le fauteuil qu’il m’avait indiqué. Un vieil homme – sur qui le poids de l’âge avait laissé sa trace - prit place dans le fauteuil adjacent et me lança un sourire aux dents gâtées. Je répondis à celui-ci et nous prîmes tout deux les coupes que le maître nous tendait. Je tournai la tête et laissa mon regard se perdre par la fenêtre de verre fin. De par ma posture, je fus émerveillé par le spectacle hivernal. Les collines enneigés, que dis-je, endormis sous son martel blanc. L’Église du village affichait son fier clocher au-dessus de la brume matinal. Cette même brume planait au-dessus des collines… |

Sheppard leva les yeux sur le réveil matin et, ouvrit grand les yeux. Il sauta en bas du lit et déposa le livre sur le meuble en sortant de la pièce. Zack dévala l’escalier et attrapa ces clefs au passage. Lorsqu’il vit sa mère arriver sur le bord de la porte, il plaqua un baiser sur sa joue et sortit en trombe. Son père l'attendait déjà assit dans la voiture, lui fessait signe de se presser. Zachary boucla sa ceinture et la voiture démarra en direction de la gare. La suite , vous la connaissez ...